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Grammaire et linguistique

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Orthographe du français

Cours reçus en Français langue étrangère, dispensés par Monsieur Jean BUTIN, à l'Université de Saint Etienne et transcrit par Danis Claude.

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Introduction

Question préliminaire

Point de vue historique

Suite du cours de Monsieur Butin

La réforme de l'orthographe 

Par Pierre Perret 

Pour dédramatiser? >> Orthogaffe

Proposition radicale

Pour tous pays

 

Question préliminaire: 

L'orthographe obéit elle à des règles? Est-elle structurée? 

Sinon on ne peut rien faire; il n'y a qu'à apprendre par cœur comment s'écrit chaque mot.

Certaines langues ont une orthographe parfaitement définie: à chaque son prononcé correspond une seule façon de l'écrire. C'est le cas, par exemple, du Roumain, pour lequel on peut, dans la plupart des cas, parler d'une orthographe phonétique.

 

Dans la langue française la structuration s'est faite de plusieurs façons (notamment au cours de l'histoire): tel mot a une orthographe qui obéit à une règle, et tel autre, à une autre règle. L'ignorance de la règle à laquelle obéit l'orthographe d'un mot rend celle-ci imprévisible, et l'acquisition de l'orthographe ne peut être progressive. Elle ne peut faire appel qu'à la mémorisation.

 

La première constatation est celle de la complexité du système orthographique français: distorsion entre phonème/son et graphisme/lettre(s) utilisé pour le transcrire. Par exemple le phonème /o/ correspond à trois orthographes pour trois mots différents: eau(x), au(x), ô ...

 

Pour comprendre cela, il faut aborder la question d'un point de vue historique. L'idée d'une norme pour l'orthographe date seulement du XVIIe siècle.

1 - L'utilisation de l'alphabet latin, différent de l'alphabet français.

    En latin, i = i ou j (yod)

    En français, i = i ou j (yod) et apparition de j (je), noté g qui ne correspond pas à q (que) du latin.

    En latin, v correspond à v ou u en français.

L'hégémonie du latin jusqu'au VIIIe siècle a eu une influence sur l'orthographe française.

2 - En ancien Français, il existaient des diphtongues et triphtongues qui s'écrivaient comme des voyelles simples et l'écart entre les systèmes graphique et phonétique s'est creusé.

  Par exemple: 

- ai = /àj/ > /éj/ > /é/   > deux distorsions, conduisant à sept graphismes en français moderne.

- Existence de graphies concurrentes pour un même phonème: /ô/ pour eau, au, ô... 

- Pourquoi ces pluriels en x? 

En latin, deus s'écrivait aussi dex pour faciliter le travail des copistes, d'où, en ancien Français, chevaux > chevax, puis les deux orthographes ont été confondues > chevaux ou même chevaulx au XVIIe.

3 - Mutation du système phonétique, par suppression des consonnes inaccentuées (souvent à la fin des mots), ce qui a accru le nombre de monosyllabes et à multiplié le homophonies:

super > sur  et  securum > seur > sûr (un accent pour les différencier)...

4 - Relativisation du vocabulaire en mots "populaires", issus de manière normale du latin, et mots "savants", c'est à dire calqués sur le latin et orthographiés au XVIe:

Populaire: insula > isula > isle > île  ou  

festa > feste (XIe) > fête (^ introduit au XVIIe)

Savant: insula > insulaire...  ; festival, festif, festoyer...

5 - Apparition de consonnes parasites pour restituer l'étymologie

baptisma > batesme > baptême

caballos > chevaulx > chevaux

Dans certains cas, cette consonne a disparu, dans d'autres, elle a subsisté, comme dans prompt, baptême, dompter...

6 - L'apparition de l'imprimerie a conduit à des interrogations sur la normalisation de l'orthographe. De plus il y a eu des innovations par les imprimeurs: distinction entre i et j, ou entre u et v, lettres accentuées...

En outre, l'Académie Française, créée par Richelieu, est chargée de deux réalisations: une grammaire, qui va normaliser les règles du bon français, et un dictionnaire pour normaliser lexique et graphie ( le plus ancien date de 1635, le plus récent, non achevé de 1992). Elle a du faire des choix et a essayé de normaliser le système orthographique en choisissant les mots utilisés par la chancellerie royale. Mais cette normalisation est partielle, et, par oubli ou négligence, des mots posant le même problème ne sont pas traités de la même façon, d'où des systèmes concurents.

Exemples:  pour le phonème /è/

Le système ancien donne  -elle  et  -ette ; le nouveau,  -èle  et  -ète

L'Académie a choisi tantôt l'ancien, pour celle ou jette ; tantôt le nouveau dans gèle ou achète... Ceci a donné une orthographe plus compliquée qu'avant, car la part d'arbitraire a augmenté.

De plus, en l'absence d'un dictionnaire terminé, qui définit la norme orthographique? Les dictionnaire usuels, Larousse, Robert... qui ne sont que le reflet d'un usage et reprennent la graphie usuelle des médias écrits après consensus. Or, un quart du vocabulaire usuel change tous les dix à quinze ans, alors que de nombreux mots ont une orthographe fixe, fixé avec une norme, empruntée à l'étranger (haschich, karaté...).

D'où la nécessité d'une véritable réforme orthographique que le ministère de l'éducation nationale a tenté de confier à des professionnels. Mais ces recherches n'aboutissent à aucun résultat. Cependant:

- L'orthographe devrait être logique pour éviter des problèmes d'enseignement et de diffusion du Français.

- les problèmes techniques à régler doivent rendre le système non anarchique... ce qui résoudra 70%des difficultés d'apprentissage.

Mais une véritable réforme n'est pas définie pour des raisons idéologiques et de principes plus que de techniques: c'est un enjeu de pouvoir et il y a un ... à ne pas faire cette réforme.

 

Problème pratique:

Il serait étonnant que l'orthographe n'ai pas un système de règles structurées: il faudra déterminer de quel type de règles il s'agit. Nous espérons en tirer, pour l'enseignement des moyens de prévoir la prévisibilité de la graphie d'un mot.

 

La reforme organisée par l'arrêté de 1901 donnait des tolérances orthographiques admises dans les concours de l'Éducation Nationale et de l'Administration, mais il n'est pas entré en application car ces réformes étaient ridicules et sont restées peu connues.

Actuellement les projets prévoient:

Remplacement du -x par -s à la fin des mots.

Réduction des consonnes géminées.

Suppression des consonnes parasites.

Réforme des mots composés.

Accentuation.

Faire appliquer les arrêtés de 1901 et 1977.

Normalisation pour -s- / -z-  ,  ge- /  j- , an / en

Simplification des lettres "grecques"  ph-  ch-  y  th- 

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Commentaires

michelle_framkoeur : La révolusion de l'ortograf è déja començé é èl se propaje rapidemen! www.ortograf.net

réponse : 

Mersi Michele de m'avoir donné cette référence ... Sela m'a permi d'étofé ma paj  avec #malediction é de référensé le site que tu m'a proposé. 

J'avé lésé en plan tou le kour de mon cher Mr Butin sur lé réson de l'ortograf alanbiké ke nou subison... 

(j'é 1 pe de mal, mé tu voi ke j'ésèy)

Bien amicalement

 

Extrait du site reformeortografique.over-blog.com

Il y a vingt ans, en 1988, dans son numéro 19,  «  l’Ecole libératrice » a publié des témoignages sur la réforme de l’ortografe, une réforme qui a, finalement, été chatrée pour devenir de simples « recommendations » sans caractère obligatoire.
 
En voici un de ces témoignages :
 
« Quelle malédiction a donc frappé le peuple le plus spirituel de la terre pour affliger sa langue d’une orthographe si consternante, si rebelle à la logique et si hostile à la règle ?
L’orthographe française semble issue en droite ligne du diabolique univers Shadock dont le principe de base : « Pourquoi faire simple quand on peut faire difficile, », est ici appliqué dans toutes sa rigueur…
 
Comment se peut-il que personne n’ait exprimé sa gêne devant le fait que tant de gens cultivés, artistes, journalistes ou écrivains, ne puissent arriver à rendre une copie sans fautes (dans les championnats Pivot) alors que l’exercice consiste seulement à écrire des mots de sa langue maternelle ? Que dirait-on si des mathématiciens (et des scientifiques de haut niveau) n’arrivaient pas à calculer sans erreurs une série d’additions et de substractions ?
 
Tournons nos regards vers les élèves, concernés en priorité, puisque étant en première ligne. C’est finalement dans leurs rangs que la sagesse a trouvé refuge. Dans leur grande majorité, ils éprouvent pour l’orthographe un sentiment qui va de l’indifférence polie au mépris le plus complet. »  
 
  
A cela, il n’y a pratiquement rien à ajouter, tellement c’est lucide. Sauf que la betise des maitres (et pas seulement à l’école) fait payer très cher aux élèves leur « sagesse » : humiliations, mépris, échecs scolaires, échecs sociaux, entre 5 et 6 millions d’illettrés.
 
Un autre témoignage : «Simplifier l’orthographe apporte une amélioration notable à notre langue
 
La nouvèl norm ègzist (La nouvelle norme existe), sinpl, klèr é présiz (simple, claire et précise : l’ortograf altèrnativ (www.ortograf.net)  :love:

Par alter-ortograf
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Citations 

"L'orthographe est une invention complètement imbécile et ridicule. La perte de temps qu'elle provoque est irrécupérable. Les règles d'accord sont encore plus difficiles à apprendre que l'orthographe des mots elle-même. Le bon sens serait d'écrire comme on prononce" Bérangère Hyordey, ancienne institutrice à Villers-le-Lac. 

"L'orthographe est un cancer qui détruit notre école, notre jeunesse, notre langue, et notre avenir dans le monde" Joseph Maire, Dijon 

Dans http://ortograf.fr/ 

Conclusion provisoire, par Pierre Perret :

La réforme de l’orthographe

Et quand malgré nos vieux réflexes
On posera plus nos circonflexes
Sur « maitresse » et « enchainé »
On fera un drôle de nez !

 

Mais les générations prochaines
Qui mettront plus d'accent à «chaînes »
Jugeront que leurs ainés
Les ont longtemps trainées

La réforme de l'orthographe
Contrarie les paléographes
Depuis qu'un « l » vient d'être ôté
À  « imbécillité » ! 

 

Un site pour dédramatiser ?  >> Orthogaffe.com

Un remède à nos maux ? "Quoique" en un ou deux mots ? Subjonctif ou indicatif après "après que" ? Dit-on "je paie" ou "je paye" ? Comment retenir les deux "p" d'applaudir ? Quel pluriel pour "grand-mère" ? Vous aussi, tout comme le Nécrole d'Erik Orsenna, estimez que "les subjonctifs sont les ennemis de l'ordre, des individus de la pire espèce. Des insatisfaits perpétuels" ? Comment se réconcilier avec les règles drastiques de cette tyrannique grammaire française ?

En accord. "Si, par hasard, vous ne savez pas s'il faut un "s" à "nous nous sommes plu", Mlle Bingault vous refile le truc ci-dessous" - énigmatique invitation que m'adresse le site orthogaffe.com - le truc étant le lien d'une vidéo YouTube. Mais qui est cette Mlle Bingault ? Détour préalable par le site orthogaffe.com sur lequel le "président d'une banque heureux", Nestor, m'accueille d'un "puisque de toute façon nous ne la simplifierons jamais, profitons de l'orthographe pour rire un bon coup". J'apprends également que, "durant les 30 premiers épisodes" des 66 que compte la websérie Orthogaffe, son seul problème est de gérer les rapports entre Gwendoline, secrétaire moderne partisane du langage SMS et Mlle Bingault, "intransigeante quant au bon usage des règles grammaticales".

Les présentations étant faites, revenons à notre lien YouTube. A l'écran, le 54e épisode - ou orthosketch - s'intitule Pronominal sans grammaire. Entendez l'épineux accord du participe passé des verbes pronominaux. Manuel en main, Nestor prend connaissance de la règle : "Nous nous sommes téléphoné. Nous avons téléphoné à qui ? A nous. Comme le pronom réfléchi est intransitif, on n'accorde pas. Ils se sont regardés. Ils ont regardé qui ? Eux. Comme le pronom réfléchi est transitif, on accorde." Mlle Bingault simplifie le tout d'un : "On transforme être en avoir. Si on peut poser la question qui, on accorde. Si on peut poser la question à qui, on n'accorde pas." Bingo !

C'est tout Net ! | LEMONDE| 02.02.12 | par Marlène Duretz

 

Proposition radicale  par heliomel

Je ne sais pas où en sont nos académiciens, il parait que dans leurs efforts pour réformer la langue française, ils en sont toujours à la lettre C ? Qu’ils y restent, on va avancer un peu sans eux.

Je vous propose un changement qui devrait aider les rédigeurs (comment ça ne se dit pas ? bon, les rédacteurs alors, pour faire comme tout le monde) de sms, les poètes qui s’ignorent et les écrivains en herbe

Voyelles, rien à dire, sauf pour le Y, mais j’y reviendrai. Passons aux consonnes.

Certaines lettres ont pris la place des autres, un vrai bazar, essayons de mettre un peu d’ordre.

Le C et le S.

Dur ou doux ? Pour le C doux (comme cidre) je propose de le remplacer par le S dur qui, en compensation abandonnera sa place de S doux au profit du Z (on écrit bien bazar, on peut tout aussi bien écrire bazalte) Et puis, il est mignon ce Z, ce zézaiement… Vous me suivez ? Continuons alors.

Le C dur sera remplacé par notre sympathique K trop peu employé (Kamembert, Karton ça a de la gueule, non ?)

W

Ah oui, j’ai oublié de vous dire, je l’ai supprimé, il ne servait vraiment pas à grand-chose et faisait de l’ombre au V. D’ailleurs souvent on ne le prononçait pas ou mal (ouatères, slo, vagon)

Q

À la trappe aussi, le K fait l’affaire. On dit bien kilo alors pourquoi pas kintal

Y

Je vous avais promis de revenir au Y. Dans yaourt ou yatagan, on entend le son mouillé comme fille ou paille. On écrit paille mais on se sert du verbe payer. Donc plus de redoublement ridicule de ces consonnes, cauchemars des écoliers et de nombreux adultes dont votre serviteur. Le Y sera mouyé, point barre Une fiye superbe faisait les boutik pour acheter une seinture, elle en trouva une aux trois kartiers. Vous voyez, ça marche…

Disparus aussi les E muets, puisqu’ils n’ont rien à dire, à la Kas.

Je vous vois venir. Je suis allé en vil ? Je vous fais confiance, le sens de la phrase (tiens, adieu ph, bonjour le F comme farmacie, d’ailleurs en honneur, je crois chez nos voisins d’outre Pyrénées (pardon, Pirénés ce Y en prenait à son aise)

Tiens, je ne parle pas du fizisien qui gagne en clarté, de même que sa spécialité, la fisik.

Venons-en au pluriel, on se contentera d’un S écrit une seule fois dans la fraz, je fais confiance à votre imagination pour décrypter la suivante (fraz)

Pour ki sont ses serpent qui sifl sur no tet

Le son O Au, eau, à la trappe aussi. Je sais, échevo, c’est pas terrible, on s’y fera. Plus amusant : un cheval, des chevo. Si vous préférez des chevals, à votre aiz.

Le son AI Est, es, ai, haie, è… oula oula simplifions, gardons le è tout simplement !

Le son EN Pareil, le son AN suffit, non ?

Conclusion Voilà pour l’essentiel, bien entendu, j’attends vos remarques, suggestions, volées de bois vert, etc.

Pour vous récompenser d’avoir pris la peine de me lire, je vous offre un petit résumé :

Jul èmè tro Véronik pour se paser d’el. Il déploya des ruz de siou, lui fi des kados somptueu, veya à asouvir ses moindr dézir.

Le samedi, il l’anmenè au sinéma, lui ofrè un eskimo, aprè, ils allè o bisto romin mangé des lazagn ou o chan élisés boir un café au Foukét.

Emervéyé devan tan d’amour (vous avez remarqué qu’amour ne change pas ?) Konkiz, el séda. Il se maryère et ur bocou d’anfan

 

 

Pour tous les pays:

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réforme orthographe + pays

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Exemple : www.cafepedagogique.net/.../2008/Reformeorthographe...

 

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Suite du cours de Monsieur Butin

 

 

 

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